Les Maraudeurs
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 Ornôra Laden

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AuteurMessage
Ornôra Laden

Ornôra Laden


Féminin
Nombre de messages : 2
Age : 31
Date d'inscription : 20/08/2008

Feuille de personnage
Âge: 17 ans et des poussières...
Animal:

Ornôra Laden Empty
MessageSujet: Ornôra Laden   Ornôra Laden EmptyMer 20 Aoû - 20:54

Nom : Laden

Prénom : Ornôra

Âge : 17 ans

Année : septième

Histoire :

Ornôra naquit un soir où les étoiles avaient déjà envahies le ciel, un soir ordinaire de septembre au beau milieu d'une petite ville à quelques heures de Dublin. Sa mère, Sheila O'connells, de son nom de jeune fille, était une jeune sang-pur dont le dessin était la passion: elle restait toutefois, et ce malgré un talent certain, discrete et réservée. Ses cheveux d'or et ses yeux émeraudes attirait le regard, mais plus encore que sa beauté, c'était sa joie de vivre et son innocence encore enfantine qui avait séduit Moen Laden, son père. Celui-ci, de sang-pur également, était aussi grand et fort que Sheila était frêle et fragile, mais les traits de son visage était fin et ses long cheveux noir faisait ressortir ses yeux de glace. Ornôra naquit un ans après leur première rencontre et cela se passa mal. Le premier cri du bébé retentit au meme moment que le dernier soupir de la mère. Son nom lui fut donnée par sa mère avant de mourir et son mari, par respect pour la mort de celle qu'il avait aimée le conserva. Malheureusement, Moen était blessé en son coeur et inconsciemment, il reporta la faute sur sa fille...

____________________________________4 ans plus tard_____________________

-Ornôra!! reviens ici!!!

Tel était le cri exaspéré de Moen Laden. Sa fille n’en faisait décidément qu’à sa tête. L’eau du lac était profonde et la petite fille nageait tranquillement à plus de quinze mètre de la rive, il pouvait l’entendre rire aux éclat, seule, dans des endroits où même les adultes les plus courageux, avait peur d’entrer. Elle n’avait peur de rien, pas même des créatures dangereuse qui peuplait sûrement l’eau tranquille. Méfie-toi de l’eau qui dort disait-on, mais la petite fille n’en avait cure, elle aimait nager, alors elle nageait, peu importait qu’une jeune fille de son âge normale préfère jouer dans le sable qui bordait les rives et aie peur de s’approcher ne serait-ce que de l’eau. La température de l’eau approchait les dix degrés et l'homme se demandait comment sa fille pouvait rester tranquillement des heures dans ce lac où lui-même avait froid, rien qu’à rester sur les bords, assis, et couvert d’un manteau. Finalement, la petite fille revint, tout sourire, vers son père. Elle se rhabilla tranquillement puis rejoignit en sautillant son géniteur. Un soupir se fit entendre, et on les revit, lui marchant tranquillement et poussant des cris et elle s'arrêtant comme bon lui semblait pour capturer tel ou tel insecte qu’elle trouvait intéressant.

_________________________________9 ans plus tard_______________________

La jeune fille avait encore disparu. Ebby, l'elfe de maison la recherchait à grand cris et Ornôra, perchée bien plus haut, souriait, cachée. Elle avait déniché cette endroit quelques années auparavant et depuis elle s’y rendait souvent. Elle aimait regarder la forêt qui s’étendait sous elle et il pouvait se passer des heures sans qu’elle ne s’inquiète du fait qu’on la recherchait. Plongée dans des pensées obscures, elle s’amusait avec les insectes qui peuplaient son repaire, et personne n’était en droit de la déranger selon elle. Le soir était déjà bien avancé, et le jour faisait doucement place à la nuit, mais cela ne la dérangeait pas, au contraire, elle trouvait plus amusant encore, de se cacher dans la nuit, à quelques pas des monstres dont elle ignorait tout mais qui la fascinait. De plus, elle ne s’inquiétait pas pour son père, sa petite soeur Aléatha, âgée de trois ans maintenant, le protégerait...

Moen ferma un instant les yeux afin de ce calmer, cela faisait douze fois en trois jours qu’elle s’évaporait pendant plusieurs heures afin de réapparaître avec ce grand sourire de folle qu’il exécrait. Il avait essayer de l’aimer pourtant, mais sa fille n’avait rien fait pour l’aider, insouciante de la vie qui l’entourait, impertinente à souhait, totalement indisciplinée, elle n’était pas normale. Comment qualifier de normale une petite fille de cet âge qui s’amuse à parler au insecte en leur arrachant les pattes, avec un sourire sadique sur les lèvres, puis en leur déchiquetant l’abdomen à coup de dent? Elle était folle, totalement folle. Et il n’arrivait pas à l’aimer. Elle était responsable de la mort de Sheila. Bien sur, il s’était trouvé une autre compagne, mais le souvenir de la mère d’Ornôra restait gravé dans sa mémoire et il ne parvenait pas à l’oublier.

La jeune fille revenait tranquillement, en fredonnant une mélodie inconnue, l’air rêveur un léger sourire au lèvres. Et lorsque Moen, excédé, lui demanda où elle était allée, elle répondit doucement:

- Quelque part....

Ce fut trop. Moen frappa la jeune fille, pour la prmière fois,le visage contracté par la haine que l’homme avait trop longtemps essayer de cacher. Celle-ci le regarda d’un air d’incompréhension pendant quelques instants puis l’éclat de folie qui la caractérisait refit surface et elle s'élança, mordant et griffant. Quelques jour plus tard, elle recevait la lettre traditionnelle des futurs élèves de poudlard et Moen afficha un sourire satisfait. Inutile de dire qu'elle passerait ses vacances a Poudlard...


_____________________________les années suivantes_________________

///pour cela j'attend d'être répartis...c'est plus facile...^^///


Caractère :

Qui pourrait dire ce que renferme son esprit? Si vous le disséquiez, vous n’en sortiriez qu’une multitude de couleurs, un rire, et une grosse migraine car son comportement reste insondable pour quiconque. Tantôt douce et tendre, elle devient, le seconde suivante, aussi violente qu’un ours en colère et aussi tranchante qu’une lame aiguisée, mais cela, elle n’en a pas conscience. Des injures, elle peut en sortir par milliers, même de ceux qui n’existe pas et existeront, mais la minute d’après, il n’est pas rare de la voir câliner celui-la même qu’elle insultait. Pendant une journée, la jeune fille peut passer du rire le plus infantile au cri le plus hystérique, de la poupée à habiller au jeu de massacre, du calme le plus parfait à l'excitation soudaine de l’assassin lorsqu’il va commettre un meurtre, et elle ne s’en inquiète pas. Un jour de deuil, elle rit, un jour de fête, elle pleure, elle fait ce qui lui plaît, quand elle en a envie. Surtout ne jamais se soucier des autres et de leurs règles qu’elle ne comprend pas et qu’elle n’a pas l’intention d’essayer de comprendre.
En parlant de faire ce qui lui plaît, la jeune fille aime tuer. Elle porte le goût du sang au delà de tout plaisir, de toute gourmandise. Non, elle n’est pas cruelle, ni emplis de haine, tuer est un de ses rare plaisir et elle ne s’en prive pas. Sa folie la mène par le bout du nez, aussi ne peut-on pas dire qu’elle est méchante, au contraire même, elle est plutôt gentille quand une crise ne vient se poindre en elle, elle accorde facilement confiance et sa joie de vivre est débordante tant les limites que l’être moyen fixe inconsciemment ne l’atteint pas. Elle n’est pas asociale comme certain se plaisent à dire d’elle, elle aime parler aux gens, mais ceux-ci ne peuvent la comprendre et finalement, quand elle le comprend, elle sombre dans un mutisme ou s’en va gaiement, en pleine conversation, sans vraiment s’en formaliser.
Sinon, lorsque ses occupations ne consiste pas à inventer de nouvelles tortures, elle lit beaucoup et aime dessiner des formes sans réelles significations sinon pour elle. Car oui, elle ne passe pas son temps à faire couler du sang, bien qu’elle aimerait, son père, lassé d’essayer de lui inculper la notion du “on ne tue pas qui l’on veut, quand on veut” lui enseigna la doctrine: “tuer moins souvent rend le plaisir de tuer plus puissant”...


Description Physique :

Une silhouette se découpe près de la rivière. L’eau mêlé de sang est troublé par deux mains fine et blanche et doucement un reflet apparaît. C’est un jeune fille étrange qui se découvre à nos yeux. Elle a de long cheveux noir tels des fils de nuit étoilé, ils sont délicatement ondulés et descendent en cascade soyeuse autour de son visage à la peau pale presque translucide. Ses yeux de glace bleuté apparaissent comme deux saphirs a milieu des décombres car ses trait fins, ses pommettes hautes légèrement teintées de rose et ses long cils noirs ne dissimulent pas la folie qui transpire dans chaque facettes de son visage et l’allure générale reste plutôt effrayante... Alors que la silhouette se lève, l’eau se trouble un peu plus sous le poids des gouttes de sang mais on peut sans difficultés, distinguer un jeune fille mince et élancée. Des muscles saillant roulent sous la peau fine, tel une promesse de mort à celui qui approche de trop près la jeune fille au visage rêveur...


HJ:

Maisons idéales pour votre perso : je pense à serpentard ou Serdaigle...après je m'en remet à vous...^^


Prénom: Delphine

Âge: 16 ans dans...un mois.

Ou avez-vous connu le forum : sur google
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